Nous supposons tous que l’industrie et l’agroalimentaire sont la base essentielle de notre économie. Seulement nous ne savons pas comment les mettre en valeur. Voici une méthode de comptabilité permettant de connaître la pérennité à long terme d’une société.
Définissons par société théorisée une entreprise globale faisant vivre un même état, comme suit :
Nous déterminons que les actifs sont ceux qui participent :
- à l’agroalimentaire.
- à une l’industrie de qualité.
- aux frais généraux, tout ce qui ne produit pas des biens et denrées, que ce soit la recherche ou le commerce, les marchés.
Soit C l’infrastructure et les machines-outils permettant de réaliser les produits de l’agroalimentaire et de l’industrie. Soit V la part de produits et denrées créés, servant à l’industrie et l’agroalimentaire. D sera le surplus d’infrastructure et de produits servant aux frais généraux. S sera le total des produits contenant le surplus de produit S’ et les produits des frais généraux. L’objectif est de contrôler que les services ne grossissent de trop.
Notre marge brute sera S, et contiendra non seulement l’état mais aussi le commerce et la finance, qu’une entreprise oublie quand elle se réfère à l’argent et au court terme.
Soit C/V l’intensité capitalistique, c’est à dire l’infrastructure et les machines-outils sur les produits vendus. L’intensité capitalistique est donc faible quand on produit plus de bien que d’infrastructure. En effet les infrastructures permettent de produire de meilleure qualité. Le capital n’intervient pas ici, car les institutions sont un secteur placé avec le tertiaire, l’argent étant effectivement un moyen.
Soit S/(C+V) la productivité, c’est à dire les surplus et l’infrastructure des frais généraux. Cette productivité augmente au sein d’une société avec des industries et une agriculture florissante.
Soit la population des industries et de l’agroalimentaire les opérateurs.
Une société évoluant correctement voit que les biens des opérateurs doivent évoluer aussi vite en qualité et en quantité que l’intensité capitalistique (C/V) et que la productivité (S/(C+V)).
Le coà »t social de la production décline régulièrement, permettant alors d’aider la société à évoluer avec la recherche, pour ensuite anticiper tout danger, pour enfin créer de nouvelles sociétés. En effet la vision à court terme veut :
- Créer des biens de mauvaise qualité.
- Créer des emplois inutiles alors que ceux-ci permettraient de créer de nouvelles sociétés.
- Créer des guerres pour détruire des biens afin de les recréer.
Soit D/(C+V) le rapport des frais généraux. La productivité doit s’accroître plus vite que le rapport des frais généraux. Autrement les surplus doivent servir à créer de nouvelles sociétés, pas à enrichir les frais généraux.
Notre marge nette sera le surplus d’infrastructures réel permettant donc d’aider d’autres sociétés à se développer. Notamment, une société n’aide une autre société à se développer qu’en lui permettant de créer la même société, ceci afin d’empêcher les guerres servant à détruire le surplus de produits de consommation vendu. Ainsi la société n’a pas besoin de surproduire au détriment de la qualité. Le surplus sera donc essentiellement un surplus d’infrastructures voire de machines-outils, dont certaines sociétés sans matières premières peuvent avoir besoin.
Beaucoup pensent qu’ils est nécessaire de créer des emplois. Seulement tous les emplois n’ont pas la même valeur. Se sont les emplois permettant de produire des biens et des denrées qui sont les plus importants. En 2012 ce sont les moins nombreux en France. La recherche aussi est importante car elle permet l’économie de travail grâce à l’énergie et l’optimisation de l’économie. Ainsi Une économie qui évolue dans le bon sens aura besoin de moins d’énergie pour fournir le même travail.
Nous utiliserons cependant de plus en plus d’énergie pour permettre à chacun d’avoir une famille. Ainsi les grands travaux permettraient alors à l’homme de conquérir les déserts grâce au thorium puis à l’helium 3.
Les mesures peuvent être évaluées :
- En joules
- En biens vendus
- En argent
Le joule permet d’évaluer l’économie de travail montrant une société évoluant dans le bon sens. Les biens vendus servent à déterminer les rapports entre les différents types d’activités. L’argent permet de vérifier, avec la qualité des biens vendus, les vices du système économique.