Le mot trust vient des croisades, qui est une guerre de civilisations. Le chevalier créait un trust pour partir en croisade. Il déléguait à un salarié ses biens pour partir en guerre. Le salarié défendait coà »te que coà »te son chevalier tant qu’il était payé.
Le trust, signifiant crois du verbe croire, fonctionne sur la croyance. Or tout le monde croit en quelque chose. Par exemple, on croit qu’on ne croit pas. Quand vous combattez un trust, les salariés individualisent les individus par des achats, du sophisme, de la corruption, voire de de la falsification, pouvant permettre des preuves.
Si vous voulez combattre un trust, il existe la notion de richesse selon Henry Charles Carey, qui a créé la loi anti-trust et l’économie jubilaire. La richesse c’est savoir utiliser ce qu’on a. Si on possède trop, on n’est pas riche, donc on peut être exproprié, ne participant pas à l’économie.
Alors pour défendre les trusts ont été créées les réquisitions, qui sont une location. Seulement, la loi anti-trust et l’économie jubilaire proposent d’exproprier en indiquant la notion de vol par monnaie privée ou de trafic. Une entreprise qui vole par monnaie privée ou trafic nuit à l’économie donc peut être nationalisée ou redistribuée par un gouvernement moral, déléguant par des personnes ayant à la fois une intelligence inter-personnelle et naturaliste. Le trafic, c’est pour rappel l’augmentation des différences de prix par monopole, appelée aussi concurrence financière, sachant que la finance anglaise d’Élisabeth 1ère issue sans doute de Rome ne peut être rattrapée.
Avant d’instaurer la loi anti-trust ou l’économie jubilaire, il s’agit d’affaiblir la finance par le Glass-Steagall Act de Franklin Roosevelt, permettant une monnaie productive publique. Il s’agit donc de connaître l’économie réelle de Henry Charles Carey, expliquée dans mes livres d’économie pour les enfants et petits.