Chaque fois que Ségolène Royal se présente à une émission, il y a un projet ou une solution. La solution peut être tranchante mais elle est là . On ne perd pas son temps à écouter Ségolène.
Ségolène, c’est la pudeur, c’est l’arrogance de construire, c’est la peur de la précarité, c’est aimer pour être aimée, c’est la précision pour agir, c’est la connaissance des dossiers, c’est la liberté pour agir pour ses concitoyens, c’est une femme libre tout simplement.
Ceux qui renient Ségolène soit ne la connaissent pas et suivent la politique comme Paris Match, soit la connaissent et sont déjà morts psychologiquement. En effet, comment ne pas être séduit par sa qualité de propositions ?
C’est pour cela qu’elle réunit. Ses solutions sont certes tranchantes mais justes. Il manque juste une politique du futur qui va avec. L’utopie rationnelle y est. Mais Ségolène a un peu de mal à se projeter dans le futur. Elle est une femme matérialiste comme beaucoup, qui veut des choses concrètes à comprendre. Moi-même j’ai du mal à trouver des solutions pour le futur, même si je suis très optimiste.
Cela n’empêche pas Ségolène de proposer un changement de système. Mais elle le fera par réformes, la réforme bancaire en étant une. On pourra aussi citer la réforme sur l’éducation et le travail qui devront devenir créatifs, un soutien sur les industries qui va de soi. Là n’est pas le problème de fond. Le problème de fond est le ménage dans les banques qui permettra une monnaie publique pour protéger les industries.
Photo CC by SA Thestreamer