Analyses sur la société française
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Redécouvrir la nature
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Article mis en ligne le 19 mai 2021

par Matthieu Giroux

Les enfants sont dénaturés par leurs parents. Les parents ne veulent pas avouer que la nature est cruelle. Et pourtant, les prédateurs sont surtout les animaux qui mangent les autres animaux. Les enfants doivent apprendre cela tôt. Sinon, ils verront toute envie de satisfaire une volonté comme une méchanceté, selon les codes du cinéma et des dessins-animés.

On en est arrivé à une telle dénaturation sur la nature, que quiconque peut devenir méchant sans l’être réellement. Il suffit d’être gros pour se voir alléguer des mensonges comme « Â gros porc  » par les petits parisiens, qui ne savent pas comment fonctionne la nature. En effet, le gros est souvent conseillé dans les dessins-animés. Il a le mauvais rôle en réalité. Il ne faut pas compter sur les dessins-animés qu’on a vu pour améliorer les stéréotypes. Avoir vu des dessins-animés permet d’anticiper leurs mensonges.

Il s’agit d’enseigner les formes d’attaques des prédateurs sur les proies qui bouleversent cet ordre de stéréotypes. Il s’agit de défaire les stéréotypes du gros qui ne sait rien faire, du maigre joli et gentil, ce qui est l’inverse constaté. Il s’agit donc de se souvenir que beaucoup d’enfants reçoivent des clichés avec les dessins-animés et les films. Il s’agit donc de rétablir le véritable ordre, celui des actes, pas des apparences.
L’idéologie atteint maintenant les documentaires devenant des idéologies de la défaite de l’humain, alors que les documentaires ont été créés par des humains. Il n’y a qu’à consulter le titre du documentaire pour constater la méprise.

L’humain n’est plus réellement un prédateur. C’est un cultivateur et un éleveur. Les élevages permettent aux animaux de vivre, contrairement à ce que veulent faire croire les végans. Les prédateurs sont la finance qui veulent s’approprier les terres et commerces des autres.

Les animaux ne parlent pas. Quand on dit cela à un petit enfant qui regarde les dessins-animés, il se voit démasqué par sa crédulité. Les animaux n’ont pas le même statut que l’humain, contrairement à ce que veulent faire croire les dessins-animés. Les animaux ne se satisfont pas de choses humaines, comme philosopher, jouer d’un instrument ou d’un outil, élever une société par la politique.

Les enfants n’apprennent pas à regarder leur petits confrères pour savoir ce qu’ils veulent. Ainsi ils pensent que tous veulent la même chose, que c’est anormal de ne pas vouloir comme soi. Enseigner ce que veut un plus jeune à un plus grand est donc bénéfique. Les parents pensent que tout se régulera mais c’est faux. L’enfant est fait pour apprendre et vit dans l’excès. Apprenons le respect par la compréhension des générations et l’apprentissage entre générations. Le plus âgé apprend au plus jeune ce qui lui sera bénéfique, contrairement à ce qu’il pense.

Beaucoup de jeunes veulent un poste, gagner leur vie plus tard alors qu’ils ont gagné leur vie quand ils sont nés. Il est pourtant possible que chacun soit propriétaire si on refait ce système. Il y a les jeunes qui devinent l’entourloupe et qui s’arment contre cela. Il y a les jeunes suiveurs qui veulent surtout une zone d’influence le déclarant à droite, ou le cachant à gauche.

Il s’agit donc de sortir de ce système pour le reconstruire avec le meilleur du passé, pas nier Colbert qui a créé des premières lois à respecter pour sublimer la nation française avec les manufactures, ou nier Lincoln qui a pourtant voulu défaire l’esclavage. Au contraire nier son passé sera le meilleur moyen de retourner dans le chaos du mensonge. Prenons le meilleur du passé au lieu de le nier.

Que c’est beau de raconter une histoire à un enfant. Les parents sont adulés avec cela. Que c’est beau de voir lire un enfant sur une liseuse sans lumière. En effet c’est la lumière des écrans qui nuit à la créativité de l’enfant. L’enfant a donc besoin d’une liseuse sans lumière de bonne qualité, pas d’un smartphone ou d’une tablette à lumière.