Il est beaucoup plus difficile de parler de la société. Cela demande un long chemin de dialogue et de réflexion. Parler de la société c’est certes parler des autres, mais surtout parler de ce qu’on pourra faire plus tard, de parler du lien économique entre les individus.
Parler de son ego est réducteur. Certes cela permet des émotions. Mais quelqu’un qui écrit ses émotions les voit facilement et n’a pas pas besoin d’entendre un ego, qui plus est déformé par l’histoire. En effet, les poèmes écrits permettent de connaître l’ego mieux que ceux qui sont intéressés par l’ego, c’est à dire ceux qui se questionnent sur l’ego. Je dis cela parce que je suis un cérébral. Les communicatifs ont besoin de l’ego pour savoir comment s’adresser aux autres. Moi j’ai eu besoin de dialoguer, puis maintenant comme l’humain occidental régresse, j’ai juste besoin d’écouter ceux qui coachent pour évoluer.
Le coaching ne va pas vers sa fin mais régresse avec les autres parce que la société régresse, donc il faut s’adapter à des âmes hypersensibles qui ne savent pas écrire un poème. Écrire des poèmes est primordial.
Je ne comprends pas les subjectifs, ces gens qui militent pour eux-mêmes en croyant que l’objectivité n’existe pas. L’objectivité existe. On peut déterminer des objectifs à notre société. Les subjectifs ne voient pas l’avenir parce qu’on a besoin d’objectivité pour construire l’avenir. Les subjectifs sont sans doute les élèves moyens qui ne savaient pas prendre parti à une question philosophique.
J’ai appris avec Alexandre Havard que le leadership est évoluer soi-même pour faire évoluer les autres. Donc le fait que j’aille sur les limites de l’humain fait de moi un leader temporairement, parce que je fais évoluer le monde sur l’âme, sur Dieu, sur l’univers, sur l’économie retrouvée de Henry Charles Carey. Mais je parle de mon ego alors que j’aimerai construire la société du futur.