Quand Lionel JOSPIN parlait de sécurité il pensait parler emploi ou solidarité. Seulement le monde dans lequel on vit voit la sécurité comme la répression des autres. Que se passerait-il si quiconque avait à faire à cette répression ?
En 2010 le policier doit sanctionner un maximum qui lui est possible. Ainsi des personnes se retrouvent en garde à vue. On leur fait signer un papier qui permettra de créer un procès avec un maximum d’infractions afin de pouvoir augmenter dans la hiérarchie. On récompense donc le policier sadique. C’est un peu ce qui se passe dans les grandes entreprises du CAC 40.
Dans Audio ou ici puis ici vous pouvez entendre deux documentaires éloquents. Le premier introduit les gardes à vues. Le deuxième collecte les réactions à ce premier documentaire audio.
Quand je discutais avec des personnes dans la rue pendant les élections 2007, il fallait que beaucoup tirent sur le premier venu. Il fallait enfoncer encore plus ceux que l’on réprimait déjà . D’autres étaient désunis à cause du peu d’écoute des journaux. Les personnes qui vivaient la crise depuis plus d’une dizaine d’années étaient déboussolées.
Peut-être qu’à force de voir le mal partout beaucoup de personnes finissent maintenant en garde à vue. En effet les policiers doivent trouver des fautifs pour augmenter les statistiques de la répression. Par contre les victimes doivent être moins nombreuses donc on essaie de ne pas enregistrer de plaintes.
La droite sait utiliser les faiblesses de ses concitoyens, c’est comme cela qu’elle gagne les élections. Ensuite elle laisse l’état se déréguler avec la dictature de la démocratie. L’UMP et l’extrême droite prônent eux la répression en plus. Beaucoup de nos concitoyens n’on pas encore compris cela et continuent de se mettre du côté du plus fort croyant son clientélisme.