Dans notre pays, les universités n’intègrent pas ou très peu le sport dans les études. Il faut alors pratiquer une activité supplémentaire. Cependant ce n’est pas ce qui se passe car certains étudiants s’intéressent alors aux remèdes miracles, à savoir les médicaments. Hors ce ne sont pas du tout des remèdes puisqu’on retrouve certains universitaires avec un état déplorable à l’hôpital suite à ça. Pourtant on se dit qu’ils n’avaient rien à faire dans un hôpital. Il faut donc constater qu’on demande de plus en plus de travail intellectuel avec de moins en moins de moyens pour que l’état forme et donc la qualité du travail restent.
Dans le système de santé, Il faut donc que nous mettions au second plan les médicaments et mettre en premier plan un retour à la vie active grâce aux activités. En effet, il y a trois ans encore, les réunions de groupe ne faisaient que parler de la prise de médicaments et des maladies les plus courantes. Cela faisait croire que la science s’occupait de tout.
Pourtant, Parler scientifiquement d’une maladie est très risqué puisque chaque cas est différent et nécessite une prise de conscience de son état corporel ce qui n’est pas encore fait. Il faut cesser de faire croire qu’on est bonne santé toute sa vie mais parler de la vie du patient, qui elle est à mettre au premier plan. C’est la nouvelle vie engagée après des soins qui permettra plus tard de ne pas se retrouver à l’hôpital. Il faut aussi cesser de faire penser que parler santé c’est parler maladies (cf. « Journal de la santé  » France 5). Parler santé c’est trouver une adéquation entre son corps et son esprit avant tout. Il serait donc préférable de parler de bien être plutôt que de santé.
Actuellement, les médecins ne conseillent que très peu au vu des risques encourus. En effet, un conseil peut se voir alors comme une solution. Hors il n’y a pas à chaque fois des solutions immédiates ou miracles. Peut-être faudrait-il un assistant spécialisé dans le retour à la vie active. En effet, il faut comprendre comment on fonctionne pour mieux se soigner et non se classer dans une certaine catégorie de personnes ce qui est souvent peu reluisant, même pour quelqu’un en pleine forme. En effet, tout comportement humain peut se voir classer en symptôme. Savoir se gérer n’est pas prendre des médicaments quand on se sent mal mais c’est savoir comment se sentir bien et trouver des solutions avec le minimum d’effets secondaires. Peu de personnes savent comment se sentir bien dans les mauvais moments. Mais celles qui le savent séparent l’humain de la civilisation.